nom : Dickens. → prénoms : Luckaël Camden. → âge : 26 ans. → date et lieu de naissance : 17 février 1987 à Blue Hills. → métier/occupation : étudiant en médecine. → origines : Américaines. → statut civil : Célibataire. → groupe : Einstein. → avatar : Paul Wesley.

1. Les "cap ou pas cap", c'est votre truc ou vous préférez les éviter lorsque c'est possible ? Je dois avouer, je suis joueur. Certain voient ça comme un défaut, mais moi, je suis toujours en train de calculer les risques... Même si j'avoue que j'ai peut-être un peu tendance à me laisser emporter par fois si on me provoque. Mais bon, il faut bien relâcher la pression de temps à autre, faire des études de médecins n'est pas facile tout les jours... 2. Quel a été votre tout premier pari ? Un truc débile à l'école, je devais avoir 6 ou 7 ans. Tout le monde me prenait pour le petit garçon sage et parfait, alors quand mon voisin de table m'a dit que je serai incapable de faire un scandale au milieu de la classe, j'ai tenu le pari. Je crois que la maîtresse a failli s'arracher les cheveux tellement j'ai hurlé, taper des pieds et pleurer car on m'avait voler ma gomme. Qui se trouvait être dans ma trousse et ça je le savais parfaitement... Un grand moment de théâtre, et qui m'avait franchement bien fait rire. Ce n'était pas le cas de ma pauvre prof, mais passons... 3. Quel a été celui qui vous avez le plus regretté d'avoir réaliser ou, au contraire, de n'avoir pas réaliser ? C'est bien simple, The Player m'avait mis dans une sale situation il n'y a pas si longtemps. A l'époque, j'étais en couple et tout se passait bien avec elle. Ce n'était pas le grand amour, mais c'était sympa, la relation était encore relativement nouvelle, on riait beaucoup et on ne se prenait pas la tête. The Player m'a mis au défi de draguer une autre fille dans un bar devant ma copine. Et je l'ai fait, pensant qu'elle comprendrait, qu'elle n'en ferait pas un drame, après tout jamais je n'aurai été plus loin qu'un flirt avec une autre. Mais non, elle avait totalement perdu la tête, déclenchant une scène monstrueuse devant tout le bar, me laissant dans l'embarras le plus total, et célibataire à nouveau... Elle n'aurait certainement pas été la femme de ma vie, mais bon, je n'ai généralement pas tendance à regretter mes actions. Là, j'ai juste un problème avec la honte qu'elle m'a fait au milieu de gens que je connaissais...

Extrêmement protecteur envers sa soeur ◇ Très proche de sa famille ◇ Intelligent ◇ Etudiant en médecine ◇ Droitier ◇ Adore le sport ◇ N'a jamais eu de relation amoureuse vraiment sérieuse ◇ Pratique le piano et adore ça ◇ Assez solitaire même s'il s'améliore avec les années ◇ Passionné ◇ Souriant ◇ Facile à vivre ◇ A un tatouage sur l'épaule ◇ Il en faut beaucoup pour l'énerver mais quand c'est le cas, ça fait mal◇ Rancunier ◇ Ne supporte pas qu'on le prenne de haut ◇

pseudo Lola → âge 23 ans. → comment as-tu connu le forum La pub bazzart m'a fait de l'oeil xD. → avis sur le forum C'est jeune, ça à l'air actif, bref ça me plait → personnage inventé ou scénario Scénario. → dernier mot Ca guère la fougère :youpy: .

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Le moins que l'on puisse dire, c'est que mes parents m'ont eu jeune. En effet, alors qu'ils avaient 18 ans, j'ai débarqué dans leur vie. Je ne sais pas exactement le pourquoi du comment, si j'étais voulu ou un accident, mais le fait est que je n'ai jamais manqué de rien. Mes parents font partis de ses parents extraordinaires qui arrivent à donner à leurs enfants ce sentiment qu'ils sont aimés de façon infini, et ça peut importe les conneries qu'il pourrait faire. Aimants et justes dans l'éducation, j'ai toujours eu un lien très fort avec eux, que ce soit avec mon père ou ma mère. Peut-être est-ce du aussi au fait qu'ils étaient jeunes à ma naissance et donc plus réceptifs. Qu'importe les raisons au final. J'ai des parents formidables et j'en suis heureux. Mon premier souvenir remonte à l'arrivée au monde de ma soeur, mon petit trésor, ma princesse. Je me souviens parfaitement de mon père m’emmenant à l'hôpital pour voir maman et faire connaissance avec ma soeur. Le moment où j'ai penché ma tête dans son petit lit pour voir son petit visage est resté ancrer dans ma mémoire. Tout de suite, j'ai su que je l'adorerai et que je ferai de mon mieux pour la protéger et que personne ne la fasse souffrir. Très rapidement, Cléo et moi avons noué une grande complicité. Ma petite soeur chérie, plus enjouée et sociable que moi, me faisait toujours rire et elle n'hésitait jamais à m’entraîner dans ses délires. Moi, j'avais déjà une tendance à être solitaire, et donc je l'observais de loin se faire de nouveaux amis, cherchant toujours à m'assurer qu'elle aille bien et la vengeant si quelqu'un essayait de lui faire du mal. Jamais de façon trop voyante, je voulais pas non plus de dispute avec elle. Même si ça n'a pas toujours été facile pour moi de ne pas trop interférer dans sa vie. Par exemple, je ne supportais simplement pas les enfants Callahan. Nos mères avaient beau être meilleures amies, je ne supportais pas ni Ethan ni Jenna. J'avais trop l'impression qu'ils me volaient ma soeur pour pouvoir voir plus loin que ça. Du coup, je les regardais jouer, sans jamais participer. Oh, Cléo avait souvent essayer de me faire venir, mais pas moyen, quand j'avais décidé de quelque chose, je m'y tenais... Et puis, moi j'étais doué à l'école, je préférais mes livres, ça faisait plus sérieux...

Et puis, j'ai fait une rencontre qui a changé pas mal de choses, qui m'a changé aussi, en bien même. J'ai rencontré mon meilleur ami, Adrian. Je pense que dans mon entourage, personne n'aurait misé un centime sur notre amitié. Lui, le fêtard, dragueur qui semblait ne jamais rien prendre au sérieux, et moi le solitaire qui prenait tous au pied de la lettre. Pourtant, lui et moi, on s'est tout de suite compris. J'ai rapidement remarqué que sous ses airs de je m'en foutiste, Adrian cachait beaucoup plus. Il était très doué, même s'il n'était pas franchement travailleur. Lui, il m'a poussé à m'amuser, à relâcher la pression et à prendre du bon temps plus souvent. Et surtout, à ne pas en prendre uniquement avec ma soeur. Adri' m'a appris à m'amuser avec d'autres gens et ça m'a fait beaucoup de bien. Du coup, ma relation avec Ethan et Jenna s'est beaucoup détendue.

En 2005, j'ai appris avec bonheur que j'allais pouvoir réaliser mon rêve: j'étais admis à l'université pour pouvoir y effectuer des études de médecine. Je m'empressais de partager la nouvelle avec ma soeur, et s'en suivi un bon moment de délire entre nous. Elle était fière de moi, et moi ravi de la rendre fière. Mais ce bonheur fut tinter, quelques années plus tard, par le départ d'Ethan. Non pas que moi j'y ai attaché une quelconque importance. Oui, ça se passait mieux entre nous, mais ce n'était pas pour autant que nous étions devenus des amis proches ou quelque chose dans le genre. Non, le problème, c'était ma soeur. En effet, Clélia se retrouva avec le coeur brisé, suite à son départ. Autant dire qu'il valait mieux pour lui qu'il ne remette pas les pieds à Blue Hills s'il ne voulait pas que je lui règle son cas. Je fis de mon mieux pour être là pour elle, la réconforter et lui changer les idées, mais je voyais bien que je n'arrivais pas, que je n'étais pas assez pour l'empêcher de sombrer peu à peu. Pourtant, et ceux à ma grande surprise, elle trouva du réconfort auprès de mon meilleur ami. Je savais qu'Adrian était un type en or, mais c'était pas pour autant que je le voyais prendre du temps comme ça pour aider Cléo. J'avoue que ce rapprochement m'intrigue, et que je ne serai pas contre de les voir ensemble...

Les choses semblaient rentrer dans l'ordre, Cléo semblait clairement aller mieux, mes études se passaient bien, j'avais des amourettes à droite à gauche, rien de sérieux mais sans enchaîner non plus. La vie retournait à une certaine routine et c'était pas plus mal. Sauf que, un soir comme un autre, j'entrais dans la salle de bain. Rien de spécial, tout ce qu'il y a de plus banal. Mais voilà, là dans la salle de bain, il y avait déjà Jenna, qui passait de plus en plus de temps chez nous. Mais pas la Jenna toujours mal à l'aise, pomponné et peu naturel dont j'avais l'habitude. J'avais jamais compris pourquoi elle était comme ça avec moi, apparemment ce n'était pas sa façon d'être au quotidien. Bref, j'avais donc au contraire une Jenna en pyjama, les cheveux totalement ébouriffé et un air surpris sur son visage. Et ce fut littéralement un coup de foudre pour moi. Cette fille que je connaissais depuis toujours et que je n'avais jamais pris le temps de découvrir me semblait tout à coup la 9ème merveille du monde (la 8ème étant déjà trouvée sous la forme de ma petite princesse, Cléo). Moi qui habituellement réfléchissait aux choses, qui était tout sauf impulsif, je ne pus simplement pas résister à la vision qui s'offrait à moi. Je m'approchais d'elle et l'embrassais avec passion. Depuis là, il y a clairement une tension très forte entre nous. Quand je la vois, je ne pense plus à grand-chose à part à quel point je la trouve belle, à quel point j'ai envie de poser mes lèvres sur les siennes. Ce que je fais, généralement. Pourtant, entre nous rien n'est clair. Nous ne sommes pas un couple, personne ne sait ce qui se passe, pas même Clélia. Il faut dire que j'ai toujours besoin de réfléchir à tout, de faire le point et d'analyser la situation. Pourtant, quand je suis avec elle, mon cerveau s'éteint et je me laisse habiter par cette attraction qu'il y a entre nous. Je ne sais pas où cela va nous mener, et je ne suis pas sur de vouloir le savoir...

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