nom : De Conti. → prénom : Elin, Andréa. → âge :19 ans. → date et lieu de naissance : 20 Novembre à Biarritz. → métier/occupation : nourrice. → origines : italienne & française. → statut civil : célibataire. → groupe :Gainsbourg. → avatar : vanessa hudgens

1. Les "cap ou pas cap", c'est votre truc ou vous préférez les éviter lorsque c'est possible ? Pour une bonne partie de rigole, je pense que c’est un bon jeu. Evidemment certains on toujours des défis plus difficiles à relever que d’autres. Néanmoins j’essaie toujours de me montrer à la hauteur en allant au dessus de mes limites. J’ai souvent joué à ce jeu plus jeune alors j’en garde de très bons souvenirs. 2. Quel a été votre tout premier pari ? C’est sûrement avec ma meilleure amie Malika. N’ayant ni frère ni sœur, c’est avec elle que j’ai partagé mes premiers jeux. Mais je me souviens du premier cap ou pas cap qu’elle m’a lancée… « Cap ou pas cap de danser sur une voiture ? » Evidemment malgré mon jeune âge je trouvais ça horriblement impoli pourtant je l’ai fait… et j’ai eu le droit d’avoir le propriétaire de la voiture à mes trousses. Je me souviens également de la punition offerte par mon père en cadeau. 3. Quel a été celui qui vous avez le plus regretté d'avoir réaliser ou, au contraire, de n'avoir pas réaliser ? Je ne sais plus de qui émanait le défi quoi qu’il en soit… je devais briser le cœur de ce garçon que j’appréciai particulièrement. En disant n’importe quoi tant qu’on voyait qu’il était triste une fois que nous sortirons de ce café à la vue de ses amis. Je l’ai fait et en voyant la déception dans son regard autant vous dire que je l’ai très vite regretter.

déteste le café ◇ vérifie au moins trois fois avant de dormir si elle a bien mis son réveil ◇ son père est la personne la plus importante pour elle ◇ elle aurait aimer avoir un grand frère ou un petit frère ◇ elle ment rarement ◇ elle déteste être malade ◇ elle déteste les personnes capricieuses ◇ elle adore les chaussures à talons ◇ elle écoute toujours de la musique quand elle prend sa douche ◇ c'est une personne très rancunière ◇ si elle n'a plus son téléphone portable elle perd toute sa vie ◇ il lui arrive de rester une journée en entier devant la tv ◇ elle danse particulièrement bien ◇ elle n'aime pas l'avion et évite un maximum de le prendre ◇ elle dit au moins une fois "merde" dans la journée ◇ elle ne boit que très rarement de l'alcool en soirée mais cela ne l'empêche pas de s'amuser ◇ elle a un rire particulièrement communicatif ◇ elle est bisexuelle ◇ elle a eu son premier rapport avec sa meilleure amie ◇ elle a horreur des pieds sales ◇ elle n'aime pas plus que ça son travail mais le fait toujours avec le sourire ◇ elle déteste faire du sport toute seule ◇ il lui arrive d'agir comme une enfant en particulier lorsqu'elle est avec sa meilleure amie ◇ elle aurait préférer que sa mère meurt dans le crash d'avion plutôt que son père ◇ il lui arrive de fumer quelques cigarettes ◇ elle n'a jamais réellement été complexée mais déteste les compliments à son égard ◇ elle passe des heures au téléphone

pseudo Sou'. → âge 21 y/o. → comment as-tu connu le forum par la créatrice du scénario que je prends :p . → avis sur le forumil a l'air cooool. → personnage inventé ou scénario scénario. → dernier mot :heaart=: :bedsexe:

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« Je te préviens Roméo, ta fille a intérêt de venir au monde une fois le déménagement terminée. » Le genre de réflexion habituel émanant de ma mère, comme ci mon père pouvait avoir un impact sur ça. Si j'ai décidé de venir au monde avant, je viendrais au monde avant. Comme vous devez sûrement vous en doutez le soir même je décida de montrer le bout de mon nez. Autant vous dire que ma mère fusilla mon père du regard. Ils étaient en plein déménagement, adieu Biarritz et le soleil bonjour Paris. Mon père natif d'Italie n'était pas le plus heureux des hommes en déménagent pour Paris. Lui il aimait le chant des cigales, les soirées calme sur sa terrasse en compagnie d'une poignet d'amis, mais pour sa femme il avait décidé de changer ses habitudes. Ma mère est une jeune femme active qui a toujours voulu réussir sa vie professionnelle avant sa vie familiale... enfin ça c'était avant qu'elle ne parte en vacances en Italie et qu'elle rencontre mon père de qui elle tomba très rapidement enceinte. Je suis donc née à Biarritz, une ville que je n'ai pas eue le temps de découvrir puisque la semaine qui suivi j'emménageai à Paris. J'ai plus souvent connu les bras de mon père que ceux de ma mère, elle n'a pris aucun congés maternité et si en pleine nuit il fallait me nourrir c'est mon père qui s'y collait de bon coeur. J'ai donc grandi en nourrissant une relation très fusionnelle avec mon père. Il devint très vite mon confident celui auprès de qui je trouvais tout le réconfort dont une petite fille à besoin. Mes parents ne m'offrir ni petit frère ni petite soeur, il n'était même pas la peine d'y compter, un enfant c'était déjà trop pour ma mère. « AIE ! Bordel Elin combien de fois il faut que je te dise de ranger tes affaires ?!!!! » Ma mère venait de marcher sur l'un de mes nombreux jouets que j'avais oublié dans le couloir comme cela arrive souvent quand on est enfant. Sauf que ce jour-là, par énervement elle attrapa ce jouet et le lança dans ma direction. Ni une ni deux, je me retrouvais avec un léger bleu au coin de l'oeil... ma mère n'était pas violente et je crois que c'est bien le seul jour où je l'ai vu s'inquiéter pour moi. Enfin c'est ce que je pensais, en vérité elle s'inquiétait plus sur la réaction de mon père à la vue de ce bleu. « Ne t'inquiète pas, en revenant de l'école elle avait ça et apparemment c'est un camarade qui l'a bousculé. N'est-ce pas Elin ? » J'acquiesçai de toute façon je ne voyais pas l'intérêt d'argumenter sur ce sujet du haut de mes huit ans.

Malika est l'une des raisons pour laquelle j'apprécie particulièrement Paris. Si je n'avais jamais déménagé je n'aurais pas rencontrée ma meilleure amie. Autant vous dire que nous sommes inséparables et que nous avons passés de nombreuses soirées l'une chez l'autre. J'ai bien entendu très rapidement entendu parler de son histoire avec son père et je n'ai jamais cessé de la soutenir. Tout comme elle l'a fait lorsque ma vie commença à se noircir petit à petit. Je n'ai que neuf ans à cette époque, mon père est mon pilier malheureusement on va me l'enlever sans que je ne m'y attende. « Eli' je reviens d'ici une semaine, ce n'est qu'un petit voyage pour aller voir grand-mère en Italie. Prends soin de ta mère et de toi surtout. » Je me vois encore me blottir dans ses bras en le suppliant de ne pas me laisser ici, je veux aller en Italie avec lui, même si je dois manquer l'école. Mais mes larmes n'y changeront rien. Pendant toute une semaine le seul contact que j'établissais avec mon père était par téléphone et autant vous dire que je comptais les heures avant qu'il ne revienne. « PAPA, demain matin à mon réveil tu seras là hein promis ? » « Promis ma puce. À demain matin, je t'aime. » C'est le sourire aux lèvres que je m'étais endormi ce soir-là, n'arrivant presque pas à m'endormir tellement j'étais impatiente de revoir mon père. Ma semaine n'avait pas été difficile avec ma mère, je ne l'avais presque pas vue, mais il m'avait manqué.
Le lendemain matin, je fus réveiller par du bruit dans le salon, mon père ça ne pouvait être que lui. Stupeur lorsque j'aperçu deux policiers assis en face de ma mère qui d'enfouir sa tête dans ses mains. Il y avait eu quelques choses... mon père n'était pas là et pourtant il m'avait promis. L'inquiétude s'empara de moi et ce n'est que quelques heures plus tard que ma mère décida de m'expliquer du mieux possible ce qui était advenu de mon père. Son avion s'était écrasé en Italie avant même d'arriver en France. Aucun survivant quoi que je n'en sais rien, la seule chose que je retiens c'est que mon père lui n'est pas vivant. Pendant des mois je ne cesse de me renfermé, il me manque et ma mère qui se plonge encore plus dans son travail alors qu'elle devrait me soutenir... Heureusement ma Malika est là. Au final je me rapproche énormément de Malika n'ayant plus aucune famille tout comme elle au final. J'apprends à connaître sa soeur, son frère bref ceux qui sont présents pour elle, pour nous.

« Alors comme ça tu sors avec mon frère ? » Je suis rouge pivoine quand ma meilleure amie me dit ça. Je ne pouvais décidément pas lui cacher ça et puis de toute façon elle devait s'en douter. Nous avons bientôt dix-huit ans et les petites cachotteries enfantines ce n'est plus notre truc. De toute manière je sais que cela ne nous sépara pas, elle est bien trop importante pour ça. Ma mère quant à elle n'apprécie pas trop la fille que je suis devenue, je ne suis pourtant pas une délinquante mais elle a toujours vu d'un mauvais oeil que je traîne avec Malika et son frère. Tant pis, je ne changerais pas pour elle. Puis les semaines et les mois passent sans encombre pour une fois. « Alois cet après midi tu viens me chercher après ton travail ? » « Évidemment, on fait comme prévu. » Bien qu'il soit plus âgé que moi, je dois dire que mon début de relation avec Alois se déroule sans encombre. J'adore être en sa compagnie et notre virée improvisée de l'après-midi en est la preuve. Je me souviens qu'il faisait beau ce jour-là, les fenêtres de la voiture grande ouvertes, la musique qui résonne et moi qui fait voler ma main face au vent... tout semble aller pour le mieux alors que je rigole de bon cœur face aux taquineries d'Alois. Ouai, c'est tout ce dont je me souviens de ce jour-là. D'après les dires, un camion nous aurait refusé la priorité percutant d'abord le côté conducteur et nous faisant faire un tas de tonneau.
3 mois de coma. Voilà comment se termina cette journée qui avait pourtant si bien commencé. À mon réveil, ce n'est pas ma mère que je vois à mon chevet, mais Malika. « Hey jolie coeur ! »soufflait je avec difficulté elle avait tellement changé pourtant ça ne faisait même pas une journée que nous nous étions quitté... c'est ce que je pensais en tout cas. Elle esquissa un sourire en m'entendant comme ci c'était miraculeux. Pourtant non. « Où est Alois ? » C'est là que son regard changea du tout au tout. C'est elle qui m'expliqua comment notre virée s'était terminée... cela me brisa le coeur. À tel point que je m'enfermai dans un mutisme qui m'était pour l'heure inconnue. J'allais finir par croire que les personnes que j'aimais étaient condamnées à mourir. Cela empira lorsque je quittai l'hôpital pour revenir chez moi. Porte close. Je ne comptais pas l'ouvrir avant un bon bout de temps, pourtant Malika se présenta à de nombreuses reprises auprès de celle-ci en espérant que je lui ouvre. Chose que je refusais. Nos dialogues ne se faisaient à présent qu'à travers la porte ou bien par téléphone. Je ne voulais plus avoir affaire à ce monde extérieur qui me détruisait petit à petit. Cela dura pendant une année. Une année pendant laquelle j'ai perdu tout contact avec l'extérieur, une année pendant laquelle le soleil effleurait ma peau qu'à de très rares occasions. J'ai pourtant tenté de reprendre contact avec la vie parisienne, l'extérieur, mais je faisais un blocage. Un blocage qui ne s'arrangea pas lorsque ma mère décida de couper les ponts, en fait elle n'a jamais réellement pris de mes nouvelles lorsque j'étais dans le coma et encore moins lorsque j'étais éveillée.

Puis il y a cet électrochoc. Malika pars. Elle m'abandonne, elle me quitte. Impossible j'ai trop besoin d'elle-même si j'ai refusé le moindre contact physique depuis un an. Ce n'est pas seulement des paroles, elle prends son train aujourd'hui et il est hors de question qu'elle parte... du moins pas sans que je ne l'ai serré dans mes bras. « Tu t'en vas? » J'aurais aimé que ce soit une blague de mauvais goûts, pourtant ses valises attestaient du contraire. « Je fais ça pour le bien de tous. » Un fichu mensonge. « Pour notre bien? Arrête c'est pour toi. » Lui avait je sèchement dit néanmoins je ne pu m'empêcher de la prendre dans mes bras. Même si je lui en voulais de partir je ne voulais pas qu'elle garde cette image froide de moi en tant de lui reprocher son départ. Elle me proposa de la rejoindre à Blue Hills, lieu qui semblait être sa destination, mais j'en étais pour l'heure incapable. Déjà la foule autour de nous commençait à m'oppresser, décidément ce contact avec l'extérieur après un an n'était pas réussi. Dès qu'elle monta dans le train, je pris la direction de mon appartement en courant le plus rapidement possible laissant mes larmes coulées. J'étais à la fois triste de son départ, mais il y avait également cet effet de foule qui me faisait tourner la tête et perdre les pédales. Apparemment il allait me falloir du temps avant de reprendre une vie normale.

Pendant presque un mois, j'ai donc cherché du travail et tenter de reprendre peu à peu une vie normale. Tout en ayant dans le creux de mon esprit l'envie de rejoindre par surprise ma meilleure amie à Blue Hills. Pour cela j'ai dû me trouver un travail vers Blue Hills pour subvenir à mes besoins, j'ai donc rapidement accepté d'être la nourrice d'une toute jeune actrice capricieuse prête à tout pour me faire vivre un enfer. Malika n'est évidemment pas au courant que j'arrive, autant vous dire que ce n'était pas évidemment de garder le secret lors de nos nombreuses conversations téléphoniques. Puis il y a le petit ami de Malika qui ne cesse de me demander son adresse, évidemment avant de le faire j'ai pris contact avec Malika qui a toujours refusé que je lui donne. À présent je veux une explication. Une semaine que je suis à Blue Hills, j'ai pris mes marques même s'il m'est encore difficile de rester des heures et des heures en dehors de mon appartement. Puis cette enfant pourrie gâtée qui me fait vivre un enfer... décidément il est tant que Malika prenne connaissance de ma présence ici, je me demande encore pourquoi je ne lui ai pas dit dès mon arrivée.

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