nom : hawkins. → prénom : adrian connor. → âge : vingt-cinq ans. → date et lieu de naissance : treize avril mille neuf cent quatre-vingt-neuf à san francisco. → métier/occupation : étudiant en quatrième année de médecine. → origines : américaines. → statut civil : célibataire. → groupe : don juan. → avatar : ed westwick.

1. Les "cap ou pas cap", c'est votre truc ou vous préférez les éviter lorsque c'est possible ? j'adore les défis, les paris. je suis un mec qui adore jouer et d'ailleurs, je suis toujours le premier à lancer des défis à mes proches. franchement, on a qu'une vie et je me dis que je ne veux pas mourir idiot donc je teste tout. voilà quoi. il faut s'amuser dans la vie et puis le ridicule ne tue pas de toute façon. il faut oser dans la vie, oser faire des trucs fou et surtout, il faut s'amuser. c'est ça le principal principe du "cap ou pas cap". 2. Quel a été votre tout premier pari ? il me semble que c'était d'inviter une fille super difficile et superficielle aussi à sortir avec moi au cinéma. je me souviens que j'ai dû le ramasser quelques gifles et plusieurs insultes de sa part mais au final ben j'ai réussis à l'emmener au cinéma dès le soir-même. avouez-le jsuis trop fort pour vous hein ! 3. Quel a été celui qui vous avez le plus regretté d'avoir réaliser ou, au contraire, de n'avoir pas réaliser ? il me semble bien que c'est d'avoir dragué clélia au départ. je ne savais pas qu'elle était la soeur de mon meilleur ami et là, bah grossière erreur quoi. non seulement elle m'a remis vite fait à ma place mais en plus, je me suis attiré les foudres de son frère. bon ce n'était pas bien méchant parce qu'on était comme les deux doigts d'une main mais bon, j'ai eu le droit à un sacré savon. plus jamais je drague les soeurs de mes amis, plus jamais.

que ce soit en amour ou en amitié, il est très possessif ◇ il ne supporte pas d'entendre de fausses rumeurs sur lui ◇ il a un sale caractère et le sait mais ne changera jamais pour autant ◇ les jeux vidéos, il en est accro ◇ les femmes sont folles de son corps et de sa belle gueule ◇ il se fait rapidement une opinion sans même apprendre à connaitre les autres ◇ assez détestable quand même ◇ son apparence compte beaucoup pour lui, il passe trente minutes dans la salle de bain tous les jours ◇ il est accro à la caféine ◇ il se mordille souvent la lèvre inférieure ◇ jusquà ses dix ans, il suçait son pouce ◇ alcoolique et drogué ◇ il est prêt à tout pour arriver à ses fins ◇ sa famille ou ses amis passent avant tout le reste ◇ malgré le fait qu'il ne foute rien en cours, il a toujours obtenu ses années du premier coup ◇ il a déjà été menacé avec une arme ◇ il aime la photographie ◇ les films d'horreur sont ces préférés ◇ il a déjà fait un séjour chez les flics en garde à vue ◇ il a déjà couché avec une prostituée ◇ les bars ou les clubs de streap tease, il connait bien ◇ il est prêt à tout pour ses proches ◇ il a toujours eu beaucoup de chances ◇

pseudo peachy's. → âge entre sept et soixante-dix-sept ans. → comment as-tu connu le forum via facebook. → avis sur le forum on s'y sent comme chez soi et ça donne trop envie de faire partie de cette famille de fifou. :yepa: → personnage inventé ou scénario scénario de la géniale Clélia. → dernier mot

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C’était un jour banal, comme les autres en fait. Adrian rentrait du collège, son sac à dos sur une épaule, ses yeux fixant le sol. Shootant toujours dans le même caillou depuis au moins cinq kilomètres au fur et à mesure qu'il avançait. Son pantalon était déchiré au niveau des genoux, signe qu'il avait encore chahuté et c'était blessé. Ses parents avaient certes des moyens financiers suffisant pour lui racheter des fringues à chaque fois qu’il déchirait les mais ils ne voulaient en aucun cas en faire un enfant pourri gâté et ainsi, ils ne cédaient pas toujours au moindre de ses caprices. Il avait volontairement raté le bus, préférant rentrer chez lui à pieds et ainsi perdre beaucoup de temps. Sur la route, son cellulaire ne cessa pas de sonner. C’était certainement sa mère qui l’appelait très inquiète de ne pas le voir descendre du bus. Mais il ne répondait pas, s'amusant à les faire mariner. C’était même son passe-temps favori. Adrian était loin d’être le fils exemplaire que toutes les mères rêvaient d’avoir. Lorsqu'il passa sur un des petits ponts, il balança son portable à la flotte, débarrassé de cet engin agaçant. Ses parents le lui avaient acheté uniquement pour pouvoir le fliquer et lui, ça l'emmerdait. Une heure et demie après l’heure à laquelle il était supposé arriver, Adrian passa enfin la porte d’entrée. A peine la porte claqua-t-elle derrière lui qu'il entendit la voix perçante de sa mère s'élever du salon et s'approcher. Trois, deux, un.... Sa mère poussa un cri aigu et s'arrêta dans son élan en découvrant l'état dans lequel était son fils. Adrian examinait ses parents du coin de l’œil et sans un mot, il se dirigea vers les escaliers tout en déclarant : « On a fait un foot qui a mal tourné et j'ai raté le bus. J'me suis acheté à manger sur la route. » Son père, lassé de toutes les sautes d’humeur de son fils, retourna dans le salon et continua de lire son journal. Il avait eu une journée assez épuisante au boulot sans en plus s’engueuler avec son fils. L’un comme l’autre était épuisé par ses perpétuelles disputes. Adrian grimpa les marches quatre à quatre et alla s'enfermer dans sa chambre tandis que sa mère lui courait après et vint tambouriner contre la porte de sa chambre. Il bloqua sa porte à l’aide d’une chaise et mit la musique aussi fort qu'il put, il se calfeutra sous sa couette, attrapa la manette de sa console de jeux et commença à lancer un jeu de voitures. Il n'aimait rien de cette vie. Ce n’est pas qu’il n’aimait pas ses parents mais comme tout adolescent, Adrian en avait ras le bol de leurs règles de savoir-vivre à la noix. Il avait seize ans mais il n'en pouvait déjà plus d'être contrôlé de A à Z. Marre de faire semblant d'être quelqu'un qu'il n'était pas. C'est ce soir-là qu'il décida que dorénavant, tout serait comme il le déciderait. Adrian vivait dans une un quartier riche. Et ses parents étaient des adeptes des longs, interminables et ennuyeux repas. A chaque fois, Adrian trouvait toujours une bonne excuse pour pouvoir y échapper. Il était même allé jusqu'à ce planté avec la voiture de ses parents pour se blesser et pour louper un de ces repas. Heureusement qu’il pouvait compter sur son meilleur ami pour le sortir de ses maudits repas dès fois hein. Pourtant ce soir-là, il allait être coincé dans un costard tout simplement laids et inconfortables pendant plus de trois heures, Adrian n’avait que seize ans à l'époque, et il carburait déjà à un tas de drogues plus étranges les unes que les autres. Il avait passé une bonne partie de l’après-midi à tester toute sorte de nouvelles drogues dans l’espoir d’échapper à ce énième dîner. Allongé sur son lit, les yeux rouges, il attendait que les invités arrivent Les invités ? Une famille riche à la tête d'un organisme humanitaire dont ses parents rêvaient d’intégrer ce club. En fait, le père du jeune homme travaillait dans le monde de la bourse. Après que ses parents l'ai appelé pendant au moins quinze fois pour qu'il vienne accueillir les invités, lassé et blasé Axel finit par descendre en traînant des pieds. Débarquant dans le salon en se vautrant sur le canapé, la chemise mal boutonnée, une tâche de sauce tomate sur la chemise, les chaussettes trouées il s’en fichait pas mal de l’impression qu’il donnait aux invités de ses parents. Ses parents écarquillèrent les yeux et sa mère se mit à rougir de honte. Poliment, elle lui demanda d’aller arranger cela mais il lui répondit qu’il en avait rien à faire et que de toute façon, il avait pas d’autre chemise propre dans son placard. Dans leurs invités, il y avait une jeune fille de l’âge d’Adrian. Autumn qu’elle s’appelait. Prenant place à ses côtés à table, il ne lui adressa pas la parole. De toute façon, il n'ouvrit pas la bouche une seule fois. A la fin du repas, il se leva et proposa à la jeune fille de se joindre à lui dans sa chambre. C’est avec un grand sourire qu’elle accepta sa proposition, ne se doutant pas un seul instant de ce qui l’attendant en haut. Il avait plutôt bien apprécié durant le repas le tempérament de feu de la demoiselle, et c'était pourquoi il voulait lui donner une chance. Ils montèrent dans sa chambre et il vint fermer la porte à clé. Là, il sortit différentes drogues d'un de ses tiroirs et les déposa sur le lit. La défiant du regard, il lança : « Tu veux quoi ? A moins que tu ne veuilles pas te faire gronder par papa et maman... » Ne se défilant pas, la jeune femme prit un sachet au hasard et ils commencèrent à se défoncer comme jamais. Ils firent connaissance et le contact passa bien entre eux deux. Délirant comme jamais. Riant aux éclats, les deux jeunes amis passèrent tout de même la nuit ensemble. Depuis, ils ont gardés contact et se refont très souvent des soirées dans ce genre-là. Tout le monde a une limite qu’il ne faut pas dépasser. C’est à l’âge de ses vingt ans qu’Adrian décida qu’il était grand temps de quitter le cocon familial. Ses parents avaient réussis à réintégrer la haute société et ils avaient déménagés dans un nouveau loft encore plus luxueux que le précédent. Il ne pouvait plus supporter cette vie décidément pas faite pour lui. Tout ça le dégoutait profondément. Il se révoltait de plus en plus face à l’autorité de ses géniteurs. Et plus il se révoltait, plus ses parents faisaient de sa vie un enfer. Et plus c'était l'enfer, plus il se révoltait... Un cercle vicieux par excellence. Disputes, accidents, colères, fugues, menaces.. La vie de la famille Hawkins était devenue un calvaire pour tout le monde. Et les drogues ne suffisaient plus à surmonter ça. Défoncé tout le temps, il continuait cependant ses études de médecine et ne désespérait de devenir un grand chirurgien un de ces jours. Il s’installait donc dans un petit deux pièces assez minable non loin du campus et heureusement que son père payait ses études sinon il aurait dû tout abandonner. Ouais Adrian n’était pas facile à vivre mais il rêvait tout de même de devenir médecin et il y arriverait. Même s’il ne parle plus à ses parents, le jeune homme peut toujours compter sur son meilleur ami n’importe quand. Ces deux-là se connaissaient depuis bien trop longtemps pour qu’ils s’ne souviennent mais ils étaient liés comme les deux doigts d’une main. Et il y avait aussi cette fille, la sœur de son meilleur ami. Alors là, il ne savait pas si c’était de l’amour ou de l’affection mais bordel, il tenait vachement à elle quoi. Tout semble bien compliqué entre eux mais seul Dieu sait ce qu’il va se passer pour lui, comme pour elle.

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